Archives de Catégorie: IoT

IoT : Amazon ouvre son réseau Sidewalk

Amazon a annoncé la semaine dernière ouvrir son réseau étendu à faire consommation énergétique « Sidewalk » aux États Unis dans un premier temps. Un concurrent de Lora ?

Annoncé pour la première fois en 2019, Amazon Sidewalk est un nouveau réseau étendu à faible consommation d’énergie (LPWAN) qui, selon Amazon, dédié donc aux appareils connectés. Un concurrent direct de LoRa (ou de Sigfox autrefois) ? Pas vraiment car il utilise aussi LoRa ! Logiquement, il n’est donc pas conçu pour remplacer les données cellulaires pour les appareils nécessitant une large bande passante. Ce n’est donc pas un concurrent à la connectivité 4G ou 5G qui nécessite actuellement un abonnement mensuel. Actuellement, Sidewalk permet par exemple au caméras Ring d’Amazon d’envoyer non pas un flux vidéo mais uniquement les notifications de mouvement sans wifi et sans trop d’énergie. Aujourd’hui, Amazon souhaite que d’autres fabriquent des appareils qui utilisent le réseau gratuit.

Le réseau Sidewalk est conçu comme un réseau communautaire partagé à longue portée. Il fonctionne sur trois technologies radio sans fil existantes : Bluetooth Low Energy (BLE) pour les courtes distances, LoRa pour les longues distances, et la modulation par déplacement de fréquence à l’aide de 900 MHz. Ces fréquences permettent d’établir un pont avec l’internet en utilisant n’importe quelle passerelle Sidewalk à proximité, ce qui inclut actuellement les haut-parleurs intelligents Echo Show 10, Echo, Echo Dot, les caméras filaires Ring spotlight et floodlight Sidewalk utilise une petite partie de la bande passante de l’internet à laquelle ces appareils sont connectés afin de pouvoir envoyer ses messages à faible volume de données.

Sidewalk a été développé à l’origine pour résoudre les problèmes de connectivité de la sonnette vidéo Ring. Comme les sonnettes intelligentes de la société sont placées à l’extérieur des maisons, souvent avec de la brique ou du plâtre entre elles et un routeur Wi-Fi, Amazon a constaté que, quelle que soit la qualité de l’antenne qu’ils installaient, ils manquaient toujours des alertes.

Les développeurs intéressés, peuvent demander un kit de test permettant de vérifier si la connectivité dans la zone où vous souhaitez déployer votre produit est suffisante. Silicon Labs et d’autres entreprises proposent dès à présent des SDK et des HDK, et AWS IoT Core for Sidewalk pour la connexion des appareils sans d’ailleurs, qu’il soit nécessaire d’utiliser les services cloud d’AWS pour accéder au réseau (un bon point, on se souvient que ce n’était pas le cas au début d’Alexa par exemple…)

Quelles en sont les applications ?

On retrouve ici les dispositifs de santé par exemple, qui envoient à interval régulier des données de contrôles au médecin traitant par exemple. Ainsi CareBand, qui a mis au point un dispositif de suivi de la santé à porter sur soi. Mais on pense également aux différents localisateurs pour vélos, animaux, etc qui nécessite du réseau pour transmettre les donnés GPS tout en étant très sobre énergétiquement. Type AirTags d’Apple mais avec une porté qui ne dépend pas de la densité des iPhones. New Cosmos a annoncé Denova Detect, une alarme de gaz naturel alimentée par batterie ; Primax lance Woody, une serrure de porte intelligente ; et Netvox propose un nouveau multi-capteur qui combine la surveillance de la climatisation, la détection des fuites d’eau et la surveillance de l’état. Ces produits n’exigent pas que les utilisateurs disposent d’un pont Amazon Sidewalk à leur domicile et ils peuvent exploiter la connectivité Sidewalk à partir de n’importe quel pont situé à proximité.

La domotique selon Microsoft en 1999 : tout y était :)

Excellent ! Dans cette petite vidéo de Microsoft en 1999, l’entreprise détaillait sa « vision » de la maison intelligente. Amusant de regarder cela aujourd’hui. Finalement pas si éloigné de la réalité…

(Nous l’avons sous-titrée en français)

On y découvre ainsi :

  • La serrure connectée avec reconnaissance faciale (ce qui est toujours futuriste aujourd’hui, même si la technologie est bel et bien disponible : via des produits Apple HomeKit par exemple.
  • La notification des personnes sonnant à la porte : ce qu’il est tout à fait possible aujourd’hui avec les sonnettes connectée type Ring (Amazon) par exemple.
  • Dans la cuisine : beaucoup de choses présentes aujourd’hui comme l’ajout de liste de courses via des assistants vocaux (Alexa, Siri ou Google home) ou même bien directement sur le frigo connecté chez de nombreux fournisseurs.
  • L’assistant vocal, il se prénomme Astro dans la Vidéo, en remplaçant ceci par Alexa par exemple : rien qui n’existe pas aujourd’hui.
  • Le contrôle de la lumière et des scénarios d’usages : là encore tout est maintenant disponible
  • Le chauffage connecté : là aussi avec des solutions type Google Nest, Netatmo, Tado, etc.

Bon, il est vrai que les périphériques utilisés sont d’un autre âge, mais les usages sont là, y compris sur les smartphone avec la localisation… en plus on les avait eu ces équipements à cette époque 🙂

Un partenariat entre le californien Atmosic et le français Dracula Technologies.

Lors du dernier CES en janvier, nous avions découvert la startup française Dracula Technologies et ses solutions photovoltaïques imprimées. Nous avions ici même publié une interview de Jérôme Vernet (vice Président chargé des ventes) que nous avions réalisée .

On apprend cette semaine que le californien Atmosic Technologies (ex-Atheros), a signé un partenariat avec Dracula Technologies pour concevoir une plateforme de référence qui associe les circuits à faible consommation du premier et la technologie de récupération d’énergie lumineuse du second. Le communiqué précise que ceci peut servir à la conception d’objets connectés (capteurs, télécommandes, etc.) fonctionnant sans pile mais pas forcément sans batterie et donc alimentés par la technologie photovoltaïque organique de Dracula. Un débouché plutôt prometteur tans le marché de l’IoT est en explosion.

« Cette collaboration démontre que la récupération d’énergie peut aboutir à des appareils écoresponsables y compris pour des marchés de masse comme celui des télécommandes TV », explique Jérôme Vernet.

Techniquement cette carte est basée sur le circuit ATM33 d’Atmosic, lequel combine un cœur Cortex-M33F à 64MHz, 64Ko de Rom, 128Ko de Ram, 512Ko de mémoire non volatile, un bloc de cryptage de données et un frontal RF compatible Bluetooth Low Energy 5.3.

Si vous souhaitez revoir cette petite interview de Jérôme :

Mui Board V2 : un magnifique panneau de contrôle domotique compatible Matter

Le CES 2023 a été aussi l’occasion de découvrir la seconde version du Mui Board. Un morceau de bois qui sert d’affichage et d’écran tactile pour contrôler notre domotique.

Le précédente version apparue en 2017 via Kickstarter n’avait pas été couronnée de succès tant les limitations étaient importante : pas d’interface tactile (uniquement de l’affichage) mais surtout aucune compatibilité avec les protocoles domotique : uniquement de IFTTT. Donc en gros : super limité.

Il est est tout autre pour la cette version 2 qui sera compatible Matter et offrira donc une compatibilité plus large avec les équipements domotique actuels et futurs.

Il est donc possible avec cet appareil :

  • D’afficher des données avec différents pictogrammes,
  • De dessiner ses propres pictogrammes
  • De sélectionner des éléments pour les régler, comme des commutateurs, des potentiomètres, etc
  • De définir des menus et sous menus
  • De définir des scénarios via l’app de contrôle

Et tout ceci avec un look il est vrai très sympa…

Ci dessous une petite vidéo (on voit un petit bug d’affichage « All Lights » qui reste présent).

Bon cet objet, de sera pas disponible tout de suite, et surtout coutera un peu cher : Le porte-parole Akiko Moriguchi a déclaré à The Verge que les précommandes pour la nouvelle Mui Board commenceront en juin sur Kickstarter à 599 $ et l’équipement devraient être disponible à partir du mois de novembre. Dons disons 2024 pour prendre un peu de marge, ce qui est souvent le cas pour les projets sur Kicktarter.

#CES2023 : Des micro batteries pour les implants médicaux

La startup française, issue du CEA, Inject Power est née début 2020 pour résoudre la difficulté suivante : comment implanter des dispositifs de monitoring dans l’œil, la boîte crânienne ou le cœur si leur source d’énergie est plus volumineuse que le capteur ?

SpinOff du CEA-Leti (Grenoble) donc, elle a utilisé pas moins que 40 brevets issus des laboratoires de ce dernier pour mettre au point sa technologie de batterie miniature rechargeable, les plus petites et de loin à ce jour. Il devient possible ainsi de mesurer à la demande et sans intervention du patient, la pression intraoculaire (prévention du glaucome), intracrânienne (suivi des AVC, de l’hydrocéphalie) ou cardiaque.La batterie se rechargeant simplement par induction (donc pas besoin d’ouvrir… ouf).

La société a déployé un partenariat avec la société américaine InjectSense, spécialisée dans les capteurs de pression, basée dans la Silicon Valley. A elle deux, elles disposent ainsi d’une solution complète.

Nous vous proposons une petite interview du responsable de la société qui nous explique tout cela :

Investissement d’Intel dans RISC-V : pourquoi est-ce important ?

La société a annoncé la semaine dernière un « fonds d’innovation » qui mise sur quelques technologies clés, dont le RISC-V, un jeu d’instructions libre et gratuit, prometteur pour les systèmes à faible consommation et les systèmes embarqués, des marchés qui devraient connaître une croissance significative au cours des prochaines années. Ces investissements sont clés pour Intel qui n’avait pas pris au sérieux la menace ARM qui était là depuis des années mais qui a tout emporté avec le boom de la mobilité et de la nécessité d’avoir des processeurs à très faible consommation. Certes ces processeurs n’étaient pas des monstres de puissance, face aux processeurs x86 de l’époque, mais ils répondaient à un besoin : l’autonomie. On connait la suite pour le fondeur de Santa Clara…

Alors l’entreprise ne veut pas répéter ses erreurs, et se lance dans des investissements sur ce qui peut être le coup d’après, à savoir la technologie RISC-V, Il n’est pas le seul, le chinois Huawei investi lui aussi dessus avec l’objectif de desserrer l’étau des américains sur l’accès à la technologie d’ARM. Intel débourse ainsi un milliard de dollars.

L’annonce d’Intel arrive à un moment où l’un de ses principaux concurrents, Arm, est dans la tempête alors que son acquisition par Nvidia, évaluée à 80 milliards de dollars, contestée par les autorités de réglementation du monde entier et a finalement échoué. Finalement Arm semble se diriger vers une introduction en bourse, un processus qui sera long et prendra de nombreux mois. Pendant ce temps il y aura sans doute un petit flottement en interne d’ARM set sans doute quelques départs avec de beaux paquets de Stock Options, du coup cela donne à Intel une petite ouverture pour accélérer sur l’innovation.

Qu’est-ce que le RISC-V et pourquoi cet investissement ?

Le RISC-V est relativement nouveau, puisqu’il a été développé à l’UC-Berkeley il y a un peu plus de dix ans. En tant que jeu d’instructions, il est assez réduit, et les puces qui l’utilisent ont tendance à être plus petites que les conceptions ARM concurrentes. Pourtant, le RISC-V est immature par rapport aux jeux d’instructions ARM, qui ont été affinés au fil des décennies grâce aux commentaires d’une myriade de clients dont Samsung, Apple, Nvidia et autres. Bien que RISC-V ne soit pas tout à fait prêt à concurrencer les smartphones basés tous sur ARM, il a commencé à faire des percées dans les systèmes embarqués, l’autre marché phare d’ARM. Intel fait donc le pari d’après smartphone : l’IoT et son besoin de puces plus simples, plus petites et encore moins puissantes qui promettent d’être dans tout, des villes aux ampoules intelligentes en passant par les automobiles.

La production a déjà largement commencée ailleurs. Le fournisseur de RISC-V Andes Technology a déclaré que plus de 3 milliards de SoC utilisant sa propriété intellectuelle ont été expédiés l’année dernière. Si le pari s’avère payant, Intel acquerra de l’expérience dans la fabrication de puces à faible consommation, un domaine dans lequel le leader est Taïwanais et s’appelle TSMC. TSMC a pu devancer la concurrence en partie parce qu’elle a fabriqué d’énormes quantités de puces entre autres pour Apple. Cela a permis à l’entreprise taïwanaise d’améliorer la finesse de gravure, et devançant tout le monde, TSMC s’est mise en meilleure position pour obtenir de nouvelles commandes, ce qui lui a permis d’augmenter encore son volume…

Intel compte bien prendre ce modèle en exemple en devenant demain, grâce à ces nouvelles usines de production en construction et d’ici 2025 le leader en production de puces RISC-V… Mais ces investissements seront-t-ils suffisant face à d’autres acteurs dont quelques chinois ou coréens ? Réponse dans quelques années…

IoT et Sécurité : Microsoft rachète ReFirm Labs

Le mois dernier, nous vous en parlions, Microsoft avait publié un nouvel outil appelé Counterfit qui automatise les tests de sécurité des systèmes d’IA d’une organisation et s’est associé à Darktrace pour aider les clients à combattre les cybermenaces avec là aussi de l’IA.

Aujourd’hui, Microsoft a annoncé l’acquisition de ReFirm Labs, une société américaine qui fournit des outils pour évaluer et surveiller les risques qui se cachent dans le micrologiciel des appareils IoT et connectés. Cette acquisition devrait renforcer la plateforme Azure Defender for IoT de Microsoft, en aidant à se protéger contre les attaques exploitants le micro code des objets connectés. Il est effectivement à craindre que ce code intégré dans ces objets multiples et souvent mal protégé devient rapidement la prochaine surface d’attaque de choix dans un contexte ou de nombreux constructeurs d’appareils qui intègrent des composants tiers dans leurs produits manquent souvent d’expertise ou d’outils pour détecter toute vulnérabilité. Ceci est aussi vrai sur des objets du quotidien, de domotique, que sur des objets industriels.

Selon une enquête récemment commandée par Microsoft auprès de 1 000 RSI, 83 % des personnes interrogées ont été confrontées à un incident de sécurité lié aux microcode, mais seulement 29 % ont consacré des ressources à la découverte et à la résolution des problèmes…

Avec l’ajout de la technologie de ReFirm Labs et de son outil d’analyse de microcode open-source Binwalk, Microsoft veut fournir aux clients une solution tout-en-un, basée sur le cloud, qui les aidera à identifier, surveiller et répondre aux problèmes de sécurité allant du niveau de la puce et du micrologiciel au réseau et au cloud.

Domotique : l’alliance CHIP devient « Matter »

Fin 2019, Apple, Amazon et Google s’étaient associés autour de la Zigbee Alliance pour annoncer l’alliance « CHIP » visant à promouvoir une plateforme et des protocoles interopérables pour la domotique. Nous vous en, parlions sur le Blog.

La domotique selon Microsoft en 1999 : tout y était 🙂

Excellent ! Dans cette petite vidéo de Microsoft en 1999, l’entreprise détaillait sa « vision » de la maison intelligente. Amusant de regarder cela aujourd’hui. Finalement pas si éloigné de la réalité… (Nous l’avons sous-titrée en français) On y découvre ainsi : Bon, il est vrai que les périphériques…

La Domotique au programme du prochain Briefing Calipia

Pour terminer la prochaine session du Briefing Calipia qui se déroulera les 9,11,15 et 16 décembre prochain, nous parlerons d’un sujet plus « sphère perso » : la Domotique. Venez nous rejoindre sur calipia.com/briefing

Amazon ajoute un « tableau de bord domotique » à ses tablettes Fire HD

Amazon est en train d’ajouter une nouvelle fonctionnalité intéressante à ses tablettes Fire HD qui facilitera l’accès rapide aux commandes domotique. A la manière de ce que présente déjà Apple via HomeKit sur ses iPad ou iPhone, cette fonction apportée sur les tablettes Amazon se présente un…

Aucune des société n’ayant atteint une masse critique pour imposer à tous leur propre protocole, il était impératif de s’allier pour faire décoller réellement les applications domotiques et demain plus largement l’IoT en général. Nous vous perlions de tout cela lors du dernier Briefing Calipia.

Alors que les premiers appareils certifiés par cette alliance devraient arriver dans les magasins en 2021, les entreprises derrière « CHIP » ont annoncé aujourd’hui que le projet aura un nouveau nom : Matter. Pour obtenir la certification de Matter, le produit devra adopter une nouvelle norme libre de droits qui le rend compatible avec les protocoles Alexa Smart Home d’Amazon, HomeKit d’Apple et Weave de Google. L’alliance englobera des appareils tels que des ampoules intelligentes, des sonnettes vidéo, des serrures de porte, des haut-parleurs intelligents, etc.

Tobin Richardson, directeur général de Matter, a déclaré à CNET que chaque appareil certifié par la nouvelle alliance aura un logo unique pour indiquer qu’il fonctionne avec les écosystèmes d’Apple, Amazon et Google. Il s’attend à ce que le logo devienne aussi « omniprésent » que le logo Wi-Fi l’est actuellement ». Le logo Matter comporte trois flèches dirigées vers le centre, représentant le partenariat des trois entreprises à l’origine de l’alliance.

« Comme ces différents appareils deviennent des réseaux plus complexes, il est d’autant plus important qu’ils parlent tous le même langage. Cette marque sera une aide pour s’assurer que vous pouvez ajouter n’importe quelles ampoules, n’importe quelles serrures de porte, n’importe quoi que vous voulez ajouter. »

Tobin Richardson

Selon Michelle Mindala-Freeman, responsable du marketing chez Matter, les accessoires compatibles auront des codes de configuration pour permettre aux utilisateurs de les appairer facilement sur n’importe quelle plateforme. Si vous désirez avoir toutes les information sur protocole Matter vous pouvez consulter la page GitHub de la Zigbee Alliance.

IoT : Microsoft rachete The Marsden Group

Il y a trois ans, Microsoft avait annoncé son intention d’investir 5 milliards de dollars dans l’Internet des objets pour aider les entreprises de toutes tailles et de tous niveaux d’expertise technique à construire des appareils et des programmes connectés. Nous avions eu l’occasion il y a deux ans lors d’un voyage d’étude à Seattle dans les équipes de développement de Microsoft sur IoT de voir les moyens que Microsoft était en train de mettre en oeuvre.

C’est sans doute dans ce cadre que Microsoft vient d’annoncer hier l’acquisition de « The Marsden Group », société écossaise et un des leaders industriel et du prototypage rapide. Dans des secteurs tels que l’industrie manufacturière, l’automobile et la logistique, Microsoft affirme que

« cette acquisition aidera les clients à expérimenter et à trouver des solutions rapidement grâce à des services tels que ses produits de cloud, edge et d’intelligence artificielle ».

Omar Abbosh, le vice-président de Microsoft pour les solutions Industrielles, a déclaré que :

« The Marsden Group a acquis une réputation unique en tant que partenaire puissant et de confiance parmi les leaders de l’industrie. », « Nous savons que dans les secteurs à forte intensité d’actifs, tels que la fabrication, l’automobile ou la logistique, les entreprises sont confrontées à des défis uniques pour adopter les nouvelles technologies, par exemple en connectant les équipements industriels en toute sécurité au cloud, en surmontant les silos de données et en soutenant l’interopérabilité entre les systèmes modernes et anciens« 

Cet échange en Novembre dernier annonçait un peu la couleur en expliquant les enjeux des Digital Twin avec la représentante de Marsden Group :

#CES2021 Une sonnette connectée qui prend la température des visiteurs !

En cette période de COVID, la société Plott propose Ettie, une sonnette connectée qui, en plus des capacités classiques de sonnette (vidéo HD, audio 2 sens et une application mobile qui permet à l’utilisateur d’être alerté sur son smartphone à chaque fois que quelqu’un sonne et de pouvoir voir et parler), offre 2 fonctions beaucoup moins courantes et dans l’air du temps.

Tout d’abord elle dispose d’un capteur de température qui permet de prendre la température du visiteur qui se présente, ensuite elle garde le compte des personnes présentes dans les lieux. Si la première fonctionnalité peut tout à fait trouver sa place dans les domiciles privés, la seconde est plus clairement destinée aux commerces et petites entreprises, en leur permettant d’avoir de manière instantané le compte exact des personnes présentes à l’intérieur des locaux, et en les alertant via l’application si la capacité limite est atteinte.

Cet appareil devrait être commercialisé dans la seconde moitié de 2021 pour un tarif US aux alentours de 300 dollars.

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