Archives de Catégorie: Cloud

Nouvelles fonctions pour Azure Space

Azure Space – cloud-powered innovation on and off the planet - The Official  Microsoft Blog

Microsoft a annoncé de nouvelles capacités mais aussi de nouveaux partenariats pour Azure Space, la plate-forme de la société qui relie les satellites et les services. L’entreprise a également dévoilé des outils pour améliorer les images satellite.

Premier service : Azure Orbital permettant de communiquer et de contrôler les satellites depuis des stations au sol. Les entreprises peuvent ainsi stocker, traiter et analyser des données issues des équipements dans le cloud.

Microsoft a également dévoilé SpaceEye, un outil alimenté par l’IA qui va chercher des images satellites optiques et multispectrales de la Terre sans nuages :

« SpaceEye utilise l’instrument radar à synthèse d’ouverture (SAR) de la mission Sentinel-1 comme source de données de base, car les données radar ne sont pas affectées par la couverture nuageuse. SpaceEye combine ensuite ces données radar avec l’imagerie optique historique pour générer une prédiction d’image IA de ce à quoi cela ressemble sous les nuages. Cela peut débloquer des cas d’utilisation importants dans l’agriculture, la surveillance de l’utilisation des terres et la réponse aux catastrophes, entre autres« ,

Tom Keane, CVP pour Microsoft Azure.

Il y a quelques temps Microsoft annonçait aussi le Turing, (IA sur Microsoft Azure) qui sera aussi utilisé ici pour amélioré la résolution des images satellite.

Enfin, Microsoft a également annoncé de nouveaux partenariats avec Airbus, Blackshark.ai, iDirect, Esri, ainsi qu’Orbital Insight pour fournir de nouvelles images satellites haute résolution.

Google Workplace : le plein de nouvelles fonctions de sécurité

Cloud Next 21

Se déroule en ce moment la conférence annuelle « Cloud Next » de Google à destination des entreprises et des développeurs. L’éditeur avait annoncé la couleur : l’évènement sera axé sur la sécurité. Et c’est le cas.

Après l’introduction en version bêta du chiffrement pour Drive, Docs, Sheets et Slides en juin dernier, ce dernier arrive donc maintenant dans Google Meet. Les entreprises pourront ainsi contrôler les clés de chiffrement afin que les données soient indéchiffrables par Google et surtout répondre aux exigences de souveraineté des données et de conformité sur certains secteurs. Une excellente nouvelle donc. Il est donc possible aujourd’hui de gérer directement les clés de chiffrement en interne grâce à la version bêta des API publiques du service d’accès aux clés. Plus besoin de partenaire pour cela à terme donc. Pour rappel Google avait annoncé des partenariats pour réaliser ces tâches avec Flowcrypt, Futurex, Thales ou encore Virtru, cela ne sera bientôt plus nécessaire. De quoi rendre ces fonctions plus accessibles à la fois pratiquement mais aussi on l’imagine économiquement.

Parmi les autres (bonnes) nouvelles concernant la sécurité on retrouve :

  • Google Docs qui avertira désormais les utilisateurs de l’ouverture de fichiers suspects/dangereux. À l’instar des protections de Gmail contre les logiciels malveillants, le phishing et les ransomwares, Sheets et Slides devraient également bénéficier de cette fonctionnalité à l’avenir.
  • La disponibilité d’une version bêta de la prévention des pertes de données (DLP) pour l’ensemble des conversation pour « permettre une conversation spontanée entre les individus et les équipes, tout en empêchant que les informations sensibles et confidentielles sortent de l’entreprise ». De même, les étiquettes Google Drive sont désormais disponibles de manière générale pour classer les fichiers en fonction de leur niveau de sensibilité.

En dehors de la sécurité, l’équipe de développement de Workspace a annoncé une nouvelle intégration avec Jira pour Google Chat et Spaces.

Google à profité de cette session pour revendiquer que 4,8 milliards d’applications ont été installées « dans » Workspace, et d’annoncer plus de 3 milliards d’utilisateurs de sa suite « en général ». On regrette néanmoins que ce dernier ne donne pas plus de précision sur les usages associés et le nombre moyens d’utilisateurs mensuel de Google Meet par exemple, histoire de comparer avec les chiffres de Microsoft Teams ou Salesforce Slack. Histoire aussi de mesurer les usages réels en entreprise au delà des milliards d’utilisateurs grand public de gMail 🙂

Nous reviendrons sur ces fonctions et la comparaison avec l’offre Microsoft Office 365 et Teams en particulier lors d’une session dédiée au prochain Briefing Calipia : rejoignez-nous !

Lancement de Microsoft for Financial Services au 1er novembre

Microsoft avait annoncé en début 2021 le lancement de nouvelles solutions verticales, créant ainsi un portefeuille de solutions sur étagères à disposition de clients et de partenaires, par secteur d’activité :

  • Microsoft Cloud for Retail
  • Microsoft Cloud for Healthcare
  • Microsoft Cloud for Manufacturing
  • Microsoft Cloud for Non profit
  • Microsoft Cloud for Financial Services

En début de cette semaine, Bill Borden, le Corporate Vice President of Worldwide Financial Services de Microsoft, vient de confirmer l’ouverture proche de la dernière nommée. Comme les autres offres verticales, celle-ci intégrera Microsoft 365, Azure, Dynamics 365 et la Power Platform. De plus, et c’est bien là toute la valeur de son caractère spécialisée à un marché, on y trouvera aussi un certain nombres d’API, de modèles de données ou de connecteurs liés au services financiers.

Le cloud américain à l’index de l’administration française

Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information

Ce n’est pas une nouveauté, mais les choses ont tendance à se produire régulièrement. Dans une circulaire diffusée le 15 septembre dernier, le directeur interministériel du numérique, Nadi Bou Hanna, indique que l’offre Microsoft 365 n’est pas conforme à la doctrine cloud de l’état français et donc ne peut pas être utilisée. Cette doctrine française présentée en mai 2021 spécifie que pour être utilisable par les services de l’état, les fournisseurs de solutions cloud doivent avoir reçu la certification délivrée par l’ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information) de Prestataires de service d’informatique en nuage qualifiés, plus connu par son petit nom SecNumCloud. Parmi les dispositions que doivent respecter les fournisseurs certifiés, il en est une qui fait défaut à Microsoft, celle qui fait obligation d’utiliser des clouds protégés des réglementations extracommunautaires. En effet Microsoft, entreprise américaine, est soumis au Cloud Act, et donc peut se voir ordonné par la justice américaine de divulguer aux autorités US des données stockées en Europe.

Cette interdiction est, pour le moment, assortie d’exceptions (pour les services mail et de drive personnel), mais surtout ne recouvre pas, toujours pour le moment, l’offre Bleu portée par Orange et CapGemini qui propose les solutions Microsoft 365, rhabillées à la française, avec datacenters en France, différents de ceux de Microsoft, et hors de portée des autorités US (selon les déclarations des 3 acteurs derrière Bleu).

La circulaire du 15 septembre ne vise pas uniquement Microsoft. Google est également en ligne de mire, notamment à cause de la présence de sa solution Google Workspace dans le secteur de l’enseignement supérieur. Le ministère de l’enseignement supérieur a fait part de travaux en cours pour mettre en oeuvre une solution « libre et souveraine » en remplacement de celle de Google.

Cette recherche de solution européenne ou française n’est pas nouvelle. rappelons nous le temps (ancien) des combats entre Microsoft Office et Open Office. Ou celui, plus récent où l’état français investissait plus de 10 millions d’Euros pour développer une solution open source concurrente à Google Apps et Office 365. Avec le succès que l’on connait …

Après les remous provoqués en 2020 lors de l’attribution à Microsoft du Health Data Hub pour stocker les données de santé des français, ou les annonces autour de GAIA-X, ce nouvel épisode marque une nouvelle fois les velléités de l’état français de sortir des solutions cloud américaines. Sera t’il marqué de succès ?

Boston Dynamics : çà swingue aussi chez les robots

https://www.youtube.com/watch?v=7atZfX85nd4

Annoncé en fin 2020, le rachat de Boston Dynamics par le groupe coréen Hyundai a été finalisé fin juin. Pour fêter çà l’entreprise spécialisée dans la robotique, spinoff du MIT, et propriété de Google entre 2013 et 2017, a publié une vidéo avec une chorégraphie, sans danseur, mais avec ses robots Spot, célèbres depuis 6 ans maintenant, et présentés ici dans leur dernière version.

On voit 7 robots Spot exécuter une chorégraphie sur une musique du groupe coréen BTS, parfaitement synchronisée et qui n’a rien à envier en termes de précision d’exécution aux chorégraphies strictement humaines.

Avec cette vidéo, Boston Dynamics présente une autre facette des capacités de ses robots. Avec les toutes premières images de Spot diffusées au milieu des années 2010, puis celles plus récentes du robot Atlas qui faisait un saut périlleux arrière , Boston Robotics avait surtout mis en avant des usages potentiels industriels et militaires.

Pour en savoir plus vous pouvez lire le message publié par Boston Robotics sur son blog. Cliquez sur l’image au-dessus pour regarder la vidéo.

Microsoft annoncerait son offre de Cloud PC le 15 juillet

Nous vous parlions ici même de l’offre Cloud PC en préparation depuis pas mal de temps maintenant. Les bruits indiquaient un lancement cet été. C’est visiblement que qu’il devrait se produire la semaine prochaine dans le cadre de la manifestation partenaires moniale de Microsoft « Inspire ».

Microsoft a prévu une session intitulée « What’s Next in End-User Computing » pour le 15 juillet. L’un des intervenants de cette session, qui porte « sur la toute nouvelle solution Microsoft Cloud pour permettre le travail hybride », est Scott Manchester. Directeur de la gestion des programmes pour Cloud Managed Desktops, et leader dans le développement de Windows Virtual Desktop, Remote Desktop Services, Second Screen Remoting, Multimedia, and Networking technologies, selon sa biographie. De forts indices donc…

Cette offre Cloud PC, destinée aux entreprises de toutes tailles est donc une offre de bureau virtuel en SaaS qui permettra aux clients d’utiliser du matériel personnel (PC, Mac, Tablette) ou des clients légers pour accéder à un bureau Windows distant et utiliser des logiciels comme on s’en doute Microsoft Office, mais aussi des applications métiers déployée dans Azure. Microsoft prévoirai de vendre cette offre plus ou moins intégrée à Microsoft 365 avec un prix fixe par utilisateur. Rien à voir donc avec le mode de tarification de l’actuel Azure Virtual Desktop, qui est liée à la consommation d’Azure. Les fuites de l’année dernière indiquaient que l’éditeur commercialiserait plusieurs options d’abonnement à Cloud PC (initialement désignées sous les noms de Medium, Heavy et Advanced – chacune offrant une quantité différente de CPU, de RAM et de stockage).

Une solution interessante effectivement pour la mise en oeuvre de travail hybride d’une part mais aussi pour des solutions de reprises d’activités en cas de blocage du SI pour un problème de sécurité, malheureusement d’actualité en ce moment pour de nombreuses entreprises.

Le Pentagon annonce l’abandon du projet JEDI

Vue aérienne du Pentagon

Après plusieurs années de travail et de discussion, et surtout une contestation devant les tribunaux, le Ministère de La Défense américain vient donc de rendre public sa décision. Il ne s’agit pas vraiment d’une surprise, cette décision étant pressentie depuis plusieurs mois. Le motif avancé par le DoD dans son communiqué, « le contrat JEDI Cloud ne répond plus à ses besoins« , ne trompe personne.

L’annonce par le Pentagon du choix exclusif de Microsoft en septembre 2020 avait soulevé la colère d’Amazon, qui avait alors porté le cas devant la justice. La récente décision par un juge fédéral d’autoriser Amazon à poursuivre ses actions en justice a porté un coup fatal au JEDI.

Le DoD annonce qu’il consultera de manière restreinte Microsoft et AWS pour ses prochains projets de cloud, « car les études de marché disponibles indiquent que ces deux fournisseurs sont les seuls Cloud Service Providers capables de répondre aux exigences du ministère« .

Les service Azure Blockchain s’arretera en septembre

On ne s’attendait pas vraiment à cette annonce, tant les usage de la blockchain en entreprise sont de plus en plus important et prometteur (nous ferons un point sur ces derniers lors du prochain Briefing : il reste des places, inscrivez-vous !) : Clap de fin pour Azure Blockchain. Microsoft met fin à son service Azure Blockchain le 10 septembre 2021. Les déploiements existants seront pris en charge jusqu’à cette date, mais depuis le 10 mai de cette année, aucun nouveau déploiement ou création de membre n’est pris en charge.

Si la Blockchain est souvent confondu avec un de ses principaux usages : la cryptomonnaie Bitcoin, ses usages en entreprise sont très nombreux. Ce grand livre partagé peut stocker l’historique complet des transactions, non seulement monétaires mais aussi d’autres types de documents. En tant que telle, elle a suscité l’intérêt initial de certaines entreprises, notamment dans le secteur bancaire et financier. Fin janvier 2016, Microsoft avait mis à disposition en preview un environnement dans les DevTest Labs d’Azure afin que des partenaires puissent découpler la technologie Blockchain des machines virtuelles. L’objectif à court terme de Microsoft pour l’Azure BaaS était de mettre à disposition une place de marché blockchain certifiée. Depuis pas grand chose n’avait évolué sur le service et le nombre de clients était resté le même si l’on endroit les références mises en avant par Microsoft : GE, J.P. Morgan, Singapore Airlines, Starbucks.

Face à cet abandon, l’éditeur suggère aux utilisateurs de commencer à migrer vers une alternative dès maintenant. La destination de migration recommandée est ConsenSys Quorum Blockchain Service. Les utilisateurs peuvent également choisir d’autogérer leurs blockchains en utilisant des VM.

JEDI S03E02 : Le pentagone envisagerait d’abandonner le contrat

Le JEDI abandonne… Avant l’arrivée de nouveaux petits JEDI ? (image Disney)

Une petit rappel des éléments marquants de cette troisième saison du JEDI, le méga contrat de La Défense américaine. Dans cette saison, le « mauvais joueur » (rôle attribué à Amazon) marque des points contre le « gagnant » (joué par Microsoft) en remportant quelques étapes judiciaires.

N’hésitez pas à vous replonger dans le résumé du premier épisode de la saison 3 que nous traitions dans le blog 🙂 Et si vous découvrez la série, voici le résumé des précédentes saisons :

Amazon accuse Trump de corruption

Haussement de ton chez Amazon, dans le dossier qui l’oppose à Microsoft sur le fameux contrat JEDI (Joint Enterprise Defense Infrastructure) de Cloud de La Défense américaine (10 Milliards de dollars tout de…

Mais revenons à ce second épisode. Selon la Wall Street Journal d’hier, le Pentagone envisagerait de « lâcher » le contrat JEDI (d’un montant de 10 milliards de dollars). Le Journal cite des plaintes récentes du législateur au sujet du projet. Certains suggèrent que le Pentagone devrait abandonner JEDI et répartir le contrat entre plusieurs fournisseurs.

Le projet massif visant à migrer l’infrastructure informatique et les données du Pentagone vers le cloud a été confronté à plusieurs barrages routiers après que Microsoft a remporté le contrat en 2019. Amazon, le favori pour le contrat, a monté une bataille juridique depuis lors. Elle reproche à l’ancien président Trump d’avoir influencé de manière inappropriée le DoD, entre autres accusations.

Le mois dernier, un juge fédéral avait refusé de rejeter les allégations selon lesquelles Trump aurait interféré avec le contrat, permettant à Amazon de poursuivre son argumentation devant les tribunaux. Et pour ajouter encore un peu plus de suspens, Le DoD a envoyé un mémo au Congrès le 28 janvier qui semblait suggérer qu’un long processus de déposition rendrait le projet JEDI intenable.

« Ces motions seront complexes et allongeront considérablement le calendrier. La perspective d’un processus de litige aussi long pourrait remettre en question l’avenir de l’acquisition du JEDI. Dans ce scénario, le DoD réévaluerait la stratégie à suivre »

Et soit l’on se risque à un pronostic… De très grandes chances selon nous, qu’un nouveau contrat soit engagé cette année, pour réaliser un partage entre les deux géants du cloud (Amazon et Microsoft) plus équitable. Et Google ? Pas sûr qu’il se joigne à cette bataille compte tenu de l’hostilité de son personnel à travailler de près ou de loin pour le Ministère de La Défense américain, tout au moins officiellement et au grand jour…

Pour que les données européennes restent en Europe : Microsoft EU Data Boundary

Dans un message daté du 6 mai 2021 Brad Smith, Président de Microsoft et Chief Legal Officer, annonce le lancement d’un plan, nommé EU Data Boundary for the Microsoft Cloud, qui vise à renforcer la protection des données des clients européens de ses services en ligne (Microsoft 365, Dynamics 365, Azure), avec au coeur l’engagement de ne pas sortir des données de l’UE. Brad Smith indique que les équipes de l’entreprise vont travailler pour mettre en oeuvre cette promesse pour la fin de l’année 2022.

Le message de Brad Smith est clair sur l’intention de Microsoft, mais moins pour ce qui concerne les éléments concrets de cette protection étendue. En effet, certains services de Microsoft permettent déjà de géo localiser des données et des services, aussi bien pour Office 365, Dynamics 365 qu’Azure. Qu’apportera en plus l’EU Data Boundary ? Un élément de réponse est peut-être indiqué dans la page de FAQ associée à l’annonce, qui différencie les « Customer Data » et les « Personal Data » :

 Many of our Online Services already offer customers data storage for Customer Data within customer-selected geographies, with many of Azure services offering the ability to choose to process and store Customer Data in customer-selected geographies. Through our new EU Data Boundary program announced on May 6th, by the end of 2022, we will be taking additional steps to minimize transfers of both Customer Data and Personal Data outside of the EU

EU Data Boundary for the Microsoft Cloud | Frequently Asked Questions

Dans son message, Brad Smith rappelle également les principes de Microsoft en matière de protection des données, en particulier concernant le traitement des demandes reçues par l’entreprise pour fournir des données de ses clients. Dans un contexte d’absence de solution alternative au Privacy Shield, invalidé par la Cour de Justice Européenne en juillet 2020, et toujours pas remplacé, Microsoft, avec l’EU Data Boundary for the Microsoft Cloud, veut avancer dans le déminage de ce terrain très sensible dans l’UE (et ailleurs). Déminage nécessaire, quand on voit par exemple les polémiques que soulèvent en France la décision de choisir Microsoft pour la plateforme Health Data Hub. Microsoft en profite aussi pour évoquer dans la FAQ mentionnée plus haut, le projet GAIA-X, et indique espérer que son initiative trouvera sa place dans cette future plateforme cloud européenne.

Si cette actualité vous intéresse, venez nous rejoindre lors d’une session du prochain Briefing Calipia en ligne.

Gaia-X : manifeste pour un cloud européen

L’évènement est passé relativement inaperçu le 4 juin dernier, mais la France et l’Allemagne ont par la voix de leurs ministres respectifs de l’économie (Bruno le Maire et Peter Altmaier) annoncé le lancement du projet franco-allemand Gaia-X. En fait, l’annonce initiale de Gaia-X avait été faite à l’automne 2019, mais le 4 juin marque le…

Transfert des données hors Europe : toujours pas de solution en vue

Depuis l’invalidation par la Cour Européenne de Justice l’été du Privacy Shield (qui définissait le cadre légal de sortie des données de l’Europe vers les USA), considéré comme insuffisant en termes de protection des données personnelles vis à vis de la loi américaine, la sortie des données depuis le territoire européen vers les USA se…

Microsoft Cloud for Healthcare disponible

A l’heure où le microcosme du cloud français s’agite autour de l’hébergement de certaines données de santé (françaises) chez Microsoft, ce dernier vient d’annoncer la disponibilité générale de son cloud spécialisé pour le monde de la santé : Microsoft cloud for Healthcare, qui fédère Azure, Microsoft 365, Dynamics 365, et Power Platform. Annoncé en mai dernier,…

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